Un couloir de l'hôpital Saint André, ce matin....ou comment dire à une amie qui souffre qu'à travers la maladie, la souffrance, la peur il peut y avoir une lueur à capter.
au fond du couloir, il n'y a pas seulement la lumière, on devine aussi une porte. Comme si ce n'était pas la lumière qui importe mais ce vers quoi elle mène. Et puis la lumière avance jusque dans le couloir et éclaire d'autres portes sombres. Comme une invitation à les ouvrir...
Encore une histoire de porte. Qu'est ce qui me porte, qu'est ce qui m'importe...
Mais quand la douleur et la peur deviennent trop insupportable pour avoir la force d'ouvir ces portes, que peut il rester à ta portée si ce n'est la lumière ?
Tu lui dis lorsque tu marches et que tu vas vers elle. Lorsque vous êtes ensemble. L'une avec l'autre, l'une auprès de l'autre. Dans cet espace que tu lui laisses afin qu'elle puisse être ce qu'elle veut ou ce qu'elle peut. Tu lui dis ainsi. Oublie ce que tu veux lui dire. Ma pensée t'accompagne.
5 commentaires:
au fond du couloir, il n'y a pas seulement la lumière, on devine aussi une porte. Comme si ce n'était pas la lumière qui importe mais ce vers quoi elle mène. Et puis la lumière avance jusque dans le couloir et éclaire d'autres portes sombres. Comme une invitation à les ouvrir...
Encore une histoire de porte.
Qu'est ce qui me porte, qu'est ce qui m'importe...
Mais quand la douleur et la peur deviennent trop insupportable pour avoir la force d'ouvir ces portes, que peut il rester à ta portée si ce n'est la lumière ?
ouais.............
Tu lui dis lorsque tu marches et que tu vas vers elle. Lorsque vous êtes ensemble. L'une avec l'autre, l'une auprès de l'autre. Dans cet espace que tu lui laisses afin qu'elle puisse être ce qu'elle veut ou ce qu'elle peut. Tu lui dis ainsi.
Oublie ce que tu veux lui dire.
Ma pensée t'accompagne.
Merci Weasel.
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